Le pitch : quand le passé menace de tout faire exploser
Et si une simple rencontre faisait voler en éclats toute votre vie ?
C’est ce qui arrive à Élisa, quand elle aperçoit un visage qu’elle aurait préféré ne jamais revoir. Un souvenir enfoui. Une erreur ancienne, dissimulée derrière les apparences d’un bonheur construit patiemment. Mais ce secret va tout remettre en question. Son couple. Sa famille. Son équilibre. Et même sa relation avec Jonathan, son fils de 17 ans, qui traverse lui aussi une période trouble, entre colère rentrée et douleurs indicibles.
Pendant ce temps, Katherine Khan, inspectrice proche de la retraite, se retrouve mêlée malgré elle à cette histoire. Elle, qui pensait avoir laissé ses émotions derrière elle, se voit replongée dans ses propres fantômes.
Te garder près de moi : un roman choral à haute tension émotionnelle
Dans Te garder près de moi, j’ai expérimenté pour la première fois le récit à plusieurs voix. Trois personnages, trois sensibilités, trois douleurs différentes… et une histoire commune qui les relie malgré eux. Élisa, Jonathan, Katherine : chacun porte un fardeau, chacun essaie de garder la tête hors de l’eau, chacun tente de survivre à sa façon.
Écrire ce roman n’a pas été simple. Certains choix des personnages m’ont brisée, d’autres m’ont surprise. Et comme souvent dans mes romans, je n’étais pas toujours d’accord avec eux. Mais je les ai laissés parler. Et c’est ce qui rend ce récit aussi sincère.
Pourquoi lire Te garder près de moi ?
- Pour découvrir un roman psychologique intense, porté par des voix profondément humaines.
- Pour explorer les liens complexes entre passé et présent, culpabilité et pardon.
- Pour plonger dans une intrigue familiale forte, avec des secrets qui font écho aux nôtres.
- Pour vibrer avec des personnages aussi imparfaits qu’attachants.
Si tu aimes les romans denses, les émotions brutes, les histoires où chaque détail compte… Te garder près de moi pourrait bien te bouleverser.
Quelques mots sur l’écriture
Ce roman, je l’ai porté longtemps avant d’oser le coucher sur le papier. J’ai hésité, j’ai réécrit, j’ai douté. Et pourtant, aujourd’hui, je suis fière de l’avoir mené à terme.
Katherine Khan, Élisa, Jonathan… ces personnages continuent de vivre dans un coin de ma tête. Ils m’ont marquée. Et si tu les croises, j’espère qu’ils te toucheront autant qu’ils m’ont touchée.
Tu veux en savoir plus ou en parler avec moi ? N’hésite pas à m’écrire ou à commenter.
Caroline W. Barnes 